31/3/25
Le cabinet est intervenu dans une affaire de violences volontaires aggravées, jugée par le tribunal correctionnel, dans laquelle la victime – un homme âgé – avait été violemment agressée par son propre fils, à la suite d’un différend familial.
Les coups portés avaient causé de graves blessures à la victime, hospitalisée en urgence. Une procédure pénale a été ouverte, et l’auteur des faits a été poursuivi pour violences volontaires sur ascendant ayant entraîné une ITT supérieure à huit jours.
Au cours de l’instruction, la victime est décédée, mais de causes naturelles liées à son âge, sans lien direct avec l’agression. Elle n’a donc pas pu se constituer partie civile.
Le cabinet a été saisi par l’épouse et le fils de la victime directe, également mère et frère de l’auteur des faits, tous deux affectés, qui ont souhaité :
Le cabinet a rédigé les actes de constitution de partie civile, évalué le préjudice, et assuré leur représentation devant le tribunal correctionnel.
Le juge a reconnu leur qualité de parties civiles et a accordé une indemnisation pour leur préjudice moral.
Ce dossier rappelle que les proches d’une victime peuvent agir en justice, y compris si la victime :
Le droit pénal reconnaît pleinement leur préjudice personnel, à condition qu’il soit direct, légitime et justifié.
Le cabinet intervient régulièrement pour assister les victimes et leurs proches, dans des procédures sensibles :
L’accompagnement couvre toutes les étapes :
Maître Sher Messinger est citée dans la presse en tant que Conseil de la partie civile dans le cadre de cette affaire de violences volontaires, dans laquelle un fils schizophrène a frappé son père à la tête à plusieurs reprises et l’a laissé pour mort.
Maître Sher Messinger a assisté la famille (mère et frère) de l’accusé devant le Tribunal correctionnel de CAHORS.