Vous avez subi un dommage corporel à la suite d’un accident de la route, un accident médical, un accident du travail ou une agression ?
Il est primordial de faire valoir vos droits.
Le Cabinet de Maître Sher MESSINGER se consacre à l'accompagnement et à l'assistance des victimes de dommages corporels à chaque étape de la procédure d'indemnisation, amiable ou judiciaire.
Forte d’une expérience de près de trois ans au sein d’un cabinet bordelais intervenant en droit du dommage corporel, Maître Sher MESSINGER a traité des dossiers complexes relatifs à des accidents de la circulation, des accidents médicaux, ainsi que des affaires d’agressions, notamment en matière de violences conjugales, de viols, de violences sexuelles et de violences volontaires.
Cette expérience lui a permis de développer des compétences solides et une expertise pointue pour accompagner efficacement les victimes de dommages corporels. Maître Sher MESSINGER intervient à chaque étape du processus, depuis la constitution de partie civile lors du procès pénal jusqu’à l’obtention de l’indemnisation définitive, en passant par les négociations avec les compagnies d’assurance.
L’indemnisation des victimes d’infractions en France repose sur plusieurs mécanismes selon la nature et la gravité du préjudice subi.
La CIVI, instituée par la loi du 6 juillet 1990, permet aux victimes de certaines infractions d’obtenir une indemnisation lorsque l’auteur est insolvable ou inconnu.
Conditions d’éligibilité :
Il est possible de saisir la CIVI pendant le cours du procès pénal sans avoir à attendre l’issue de cette procédure, sous réserve de prouver le caractère matériel d’une infraction.
D’autres voies d’indemnisation sont ouvertes aux victimes d’infractions : constitution de partie civile, le Service d'Aide au Recouvrement des Victimes d’Infractions (SARVI)…
L'indemnisation par la Commission d'Indemnisation des Victimes d'Infractions (CIVI) :
L’indemnisation par le Service d'Aide au Recouvrement des Victimes d’Infractions (SARVI) :
Le SARVI, géré par le FGTI, intervient lorsque la CIVI n’est pas compétente (préjudice léger, dommage matériel...) et que la victime ne parvient pas à obtenir le paiement des dommages et intérêts alloués par une décision judiciaire :
L'indemnisation par l’auteur de l’infraction directement :
Dans le cadre de la procédure pénale ou civile, la victime peut demander des dommages et intérêts à l’auteur de l’infraction, soit dans une constitution de partie civile (procès pénal), soit dans une action civile distincte (procès civil).
L’accompagnement d’un avocat expérimenté en droit de la réparation du dommage corporel est essentiel pour étudier l’opportunité de saisir la CIVI, le SARVI ou de se retourner directement contre l’auteur du dommage corporel et pour garantir une indemnisation optimale de vos préjudices le plus rapidement possible.
L'accident de la vie courante peut se produire chez vous ou à l'extérieur, dans le cadre de vos activités domestiques, sportives ou de loisirs :
Oui, il est possible de souscrire à un contrat « Garantie Accident de la Vie » (GAV) pour assurer une seule personne ou l’ensemble des membres de la famille.
La procédure d’indemnisation implique souvent l’évaluation des préjudices de la victime dans le cadre d’une expertise médicale et le chiffrage des préjudices.
Une fois cette évaluation faite, l'assureur calcule le montant des indemnités correspondant à chaque type de préjudice, en se basant sur le barème utilisé par les tribunaux.
Il est impératif de garder en tête qu’un plafond d’indemnisation est fixé dans les conditions particulières du contrat ou dans le bulletin d’adhésion.
L’accompagnement d’un avocat expérimenté en droit de la réparation du dommage corporel est essentiel pour garantir une indemnisation optimale de vos préjudices le plus rapidement possible et d’éviter, entre autres, la prescription biennale en droit des assurances.
Un accident du travail est un événement soudain survenu par le fait ou à l’occasion du travail, qui entraîne une lésion corporelle ou psychique pour le salarié.
Si l’accident est reconnu comme professionnel, le salarié bénéficie d’une prise en charge à 100 % des soins médicaux liés à l’accident, sans avance de frais.
Si l’accident n’est pas reconnu comme tel, le salarié bénéficie d’un deux mois à compter de la notification de la décision pour contester devant la Commission de Recours Amiable (CRA).
Une fois consolidée, une évaluation médicale du taux d’incapacité permanente est faite par la CPAM.
Selon ce taux :
La victime doit caractériser la faute inexcusable de l’employeur : établir que l’employeur a commis un manquement à l'obligation légale de sécurité et de protection de la santé à laquelle l'employeur est tenu vis-à-vis de son salarié.
Le salarié devra déposer une plainte ou saisir l’inspection du travail pour caractériser la faute inexcusable de l’employeur.
En cas de contestation par l’employeur, le salarié doit saisir la CPAM pour une demande de conciliation préalable obligatoire avant de saisir la Juridiction compétente, le Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale (TASS).
Cette saisine préalable suspend le délai de prescription qui est de deux ans à compter de l’accident du travail ou de la fin de versement des indemnités journalières.
Si l’accident est dû à une faute inexcusable de l’employeur, le salarié peut obtenir une majoration de rente et une indemnisation complémentaire couvrant l’intégralité des préjudices subis par le salarié (souffrances endurées, préjudice esthétique, par exemple).
Le Cabinet de Maître Sher MESSINGER accompagne et défend quotidiennement les victimes d’accidents du travail à chaque étape du processus d’indemnisation et réclame une indemnisation optimale pour défendre au mieux les intérêts de ses clients.
L’indemnisation des victimes d’erreurs et d’accidents est très largement encadrée par les lois des 04 mars 2002 et 30 décembre 2002.
Toute personne victime d’un accident médical grave, qu’il résulte d’un acte de prévention, de diagnostic ou de soin, peut bénéficier du dispositif d’indemnisation, sous réserve que l’acte en question ait été réalisé après le 4 septembre 2001.
Il doit s’agir d’un accident médical non fautif : un aléa thérapeutique.
Un accident médical est considéré comme grave lorsqu’il a entraîné un dommage dépassant les seuils suivants :
Dans ce cas, la victime est indemnisée par l’ONIAM (Office National d’Indemnisation d’Accidents Médicaux).
Les victimes d’infections nosocomiales ayant entrainé un taux d’atteinte permanente à l’intégrité physique ou psychique (AIPP) supérieur à 25 % ou le décès, seront également indemnisées par l’ONIAM selon un principe de responsabilité présumée des établissements de santé, sauf s’ils parviennent à prouver une cause étrangère.
A l’inverse, toute personne victime d’un accident médical fautif (issue d’une faute du praticien), peut être indemnisée sur le fondement du régime de la responsabilité pour faute en matière médicale.
La victime a le choix entre :
La Commission dispose d’un délai de six mois pour émettre son avis sur les circonstances, les causes, la nature et l’étendue des dommages subis par la victime, ainsi que sur le régime d’indemnisation applicable.
S’il s’agit d’un aléa thérapeutique qui réunit les conditions relatives au seuil de gravité (AIPP supérieur à 24 %, un arrêt temporaire des activités professionnelles d’au moins 6 mois et un DFT égal ou supérieur à 50 %) : le dossier est transmis à l’ONIAM qui dispose d’un délai de quatre mois pour faire une offre d’indemnisation à la victime.
Si, à l’inverse, il s’agit d’une faute médicale, ou d’une infection nosocomiale ayant entrainé un taux d’atteinte permanente à l’intégrité physique ou psychique (AIPP) inférieur à 25 % : l’assureur du praticien ou de l’établissement de santé dispose d’un délai de quatre mois pour faire une offre d’indemnisation à la victime.
La victime dispose alors d’un second choix :
Le Cabinet de Maître Sher MESSINGER accompagne et défend quotidiennement les victimes d’accidents médicaux à chaque étape du processus d’indemnisation et réclame une indemnisation optimale pour défendre au mieux les intérêts de ses clients.
L’indemnisation des victimes d’accidents de la circulation impliquant un véhicule terrestre à moteur est encadrée par la loi du 5 juillet 1985, connue sous le nom de la « Loi Badinter ».
Après un accident de la circulation, les compagnies d’assurance contactent rapidement les victimes et/ou leurs proches pour organiser une expertise médicale amiable et proposer une provision, puis indemnisation définitive.
L’attitude proactive de l’assureur présente l’avantage d’accélérer le processus d’indemnisation mais, souvent, son objectif est de réduire les indemnisations.
Les conclusions expertales des experts mandatés par les compagnies d’assurance sont souvent incomplètes et les offres présentées par les compagnies d’assurances sont souvent inférieures, voire insuffisantes.
Avant d’accepter une proposition d’indemnisation transmise par une compagnie d’assurance, il est crucial de consulter un avocat qui intervient en réparation du dommage corporel et qui saura vous accompagner et vous conseiller.
Le Cabinet de Maître Sher MESSINGER accompagne et défend quotidiennement les victimes d’accidents de la circulation à chaque étape du processus d’indemnisation et réclame une indemnisation optimale auprès des compagnies d’assurance pour défendre au mieux les intérêts de ses clients.
Si l’offre transmise par l’assureur est refusée par la victime, une procédure judiciaire est toujours envisageable.